COMMENTAIRE DE RAËL :
Il y en a partout, y compris sur les plages les plus isolées d’Okinawa…
L’épidémie de coronavirus en cours et le port obligatoire de masques imposé par les gouvernements du monde entier ont provoqué une “augmentation exponentielle” de la pollution par les masques faciaux, selon une étude exhaustive fondée sur des données recueillies dans 11 pays.
L’étude accablante menée par une équipe de chercheurs de l’université de Portsmouth a été publiée jeudi dans la revue Nature Sustainability.
Le groupe de recherche a mené une étude approfondie sur les équipements de protection individuelle (EPI), observant une “augmentation exponentielle” de ces déchets dans le cadre des mesures anti-coronavirus. Leurs conclusions sont basées sur des données recueillies dans 11 pays, à savoir l’Australie, la Belgique, le Canada, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, l’Espagne, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis, à l’aide d’une application de collecte de déchets sauvages, Litterati.



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